Le gâteau au yaourt et aux pommes de Cannelle et Vanille

Normalement, j’appelle tout simplement ce gâteau l’autre gâteau au yaourt, et j’avoue, ça aurait été beaucoup plus court comme titre. Mais voilà, je ne pouvais pas ne pas mentionner tout de suite la source de cette super recette.

Parce qu’une recette d’Aran Goyoaga de Cannelle et Vanille, c’est tout de suite la promesse de quelque chose de délicieux qu’on voudra refaire à l’infini.

Pas grand-chose à dire en fait à part que tout est parfait dans cette recette. Le mix des farines, les épices, tout est bien dosé. Je n’ai même pas enlevé un gramme de sucre, c’est dire. Je l’ai refaite plusieurs fois, dont certaines en remplaçant les pommes par des poires ou des pêches, et c’est à chaque fois la même chose, impossible de s’arrêter après un seul morceau.

En résumé, ce gâteau au yaourt, c’est la version améliorée et sans gluten de celui que j’ai appris, comme beaucoup, à faire à l’école. Une recette parfaite de gâteau aux fruits quelle que soit la saison.

Gâteau au yaourt et pommes

Une recette de Cannelle et Vanille

Pour les pommes

• 3 pommes (ou 4 si elles sont petites)
• 1 c à soupe de beurre
• 2 c à soupe de sucre
• 1 gousse de vanille (séparer les grains de la gousse et les garder pour la pâte)
• 3 gousses de cardamome

Pour la pâte

• 105 g (3/4 de tasse) de faine de riz
• 75 g (3/4 de tasse) de farine ou poudre d’amandes
• 40 g (1/4 de tasse) de fécule de maïs
• 1 c. à soupe de levure chimique (poudre à pâte)
• 1/2 c à café de bicarbonate de soude
• 1/2 c à café de cannelle moulue
• 1/4 de c à café de sel

• 3 oeufs
• 125 g (1/2 de tasse) de yaourt nature
• 125 ml (1/2 de tasse) d’huile d’olive
• 100 g (1/2 de tasse) de sucre brun de préférence
• 1 c à soupe de rhum
+ les grains de la gousse de vanille

Laver, peler et couper les pommes en quartiers. Prélever les grains des gousse de cardamome et les broyer. Faire chauffer le beurre y ajouter les 2 cuillères à soupe de sucre, la gousse de vanille (garder les grains pour l’appareil), la cardamome moulue et les quartiers de pommes. Faire cuire environ 7 minutes puis laisser reposer 15 minutes.
Placer les pommes dans le fond d’un moule en les serrant bien.
Préchauffer le four à 180˚C.
Préparer l’appareil en mélangeant d’abord séparément les ingrédients secs (farines, levure, bicarbonate, sel et grains de la gousses de vanille) dans un bol et les ingrédients liquides (oeufs, huiles, yaourt rhum) avec le sucre dans un autre puis tout ensemble.
Verser la préparation sur les fruits.
Cuire 1h environ. Laisser tiédir avant de démouler.

images : n.v. quelques-choses

Rhubarbe et sureau

Et voilà, une petite recette complètement hors saison. Une confiture qui a vue le jour par hasard pendant la période trop éphémère de la rhubarbe et qui attendait bien sagement depuis l’été dernier de se retrouver enfin ici.
C’était donc il y a quelques mois, les tiges de rhubarbe venaient de faire leur apparition sur les étalages que l’on sentait monter à la fois l’excitation (vite un clafoutis, une tarte…) et l’angoisse de les voir disparaitre aussi vite qu’elles étaient venues. Les confitures restant toujours la solution parfaite pour étirer le plaisir des fruits, c’était certain ces petites tiges allaient se retrouver dans un bocal, histoire de nous permettre de retrouver leur petit goût acidulé si particulier tout au long de l’année.
l’idée originale était de faire une confiture toute simple, mono-saveur rhubarbe pour changer de la recette rhubarbe-pamplemousse rose que j’aime toujours autant mais qui ne fait pas forcément l’unanimité à la maison. Mais voilà cette année, mes petites tiges étaient plutôt vertes et le résultat aurait été un peu fade visuellement, pas assez rosée à mon goût. J’aurais pu ajouter des fraises, le duo rhubarbe fraises c’est un classique, mais pas de fraises à disposition. Et puis je ne suis pas vraiment fan de la confiture de fraises, on dirait d’ailleurs que c’est familial puisque chez nous pas de confiture de fraises ni de yaourts aux fraises. Les fraises, on les préfère fraîches, natures ou en salade de fruits avec un petit trait d’eau de fleur d’oranger.
Mais revenons à ma rhubarbe.

Elle était vraiment bien partie pour finir toute seule dans ses petits pots avec sa couleur de fruit anémique cette rhubarbe, et puis voilà qu’au détour d’un placard, je tombe sur un sachet de baies de sureau déshydratées à peine entamé. Les baies de sureau, c’est doux, délicat, et ça fait un joli jus rosé. C’était réglé, cette année ce serait rhubarbe et sureau. Le résultat, un vrai succès. Un goût délicat et une belle couleur rosée.
J’ai même dû en refaire, les 4 petits pots n’auraient jamais pu résister jusqu’à l’hiver.
Donc une recette hors saison à conserver précieusement et à ressortir quand la rhubarbe fera son retour cet été.
Et comme ça faisait longtemps que je n’avais pas mis de recette de confiture par ici, j’en profite pour remettre quelques trucs pour la conservation.

Confiture rhubarbe et sureau

• 1 botte de rhubarbe
• sucre la moitié du poids de la rhubarbe
• 4 c. à soupe de jus de citron
• 2 c. à soupe de baies de sureau déshydratées.

Placer 2 petites assiettes au congélateur. Elles serviront à tester la cuisson de la confiture.
Couper la rhubarbe en tronçons de 2 cm environ et peser.
Peser le moitié du poids de rhubarbe en sucre.
Mettre la rhubarbe, le sucre, le citron et les baies de sureau dans une marmite.
Faire cuire à feu vif pendant 15 minutes puis baisser le feu et cuire environ 45 minutes à petite ébullition en remuant très régulièrement.
Tester la cuisson en déposant un peu de confiture sur une assiette sortie du congélateur. La préparation doit figer rapidement sinon prolonger la cuisson.
Verser dans des pots, stériliser et fermer.
Retourner les pots et attendre jusqu’au refroidissement complet ou leur faire subir un traitement thermique (voir dessous).

CONSERVATION, STÉRILISATION ET AUTRES TRUCS...

Tirés du livre "les conserves selon Camilla" de Camilla Wynne

  1. Laver et stériliser les bocaux en les faisant bouillir et en les gardant dans l'eau chaude jusqu'au moment de les utiliser ou bien les laisser dans un four chauffé à 95°C jusqu'au moment de les remplir.

  2. Utiliser des couvercles neufs et les mettre dans une casserole remplie d'eau sur feu moyen (sans faire bouillir pour ne pas abimer les joints de caoutchouc) jusqu'au moment de les utiliser.

  3. Remplir les pots jusqu'à environ 6 mm du bord pour des bocaux de 250 ml (1 cm pour des pots de 500 ml).

  4. Ne pas oublier d'enlever les bulles d'air coincées avec un ustensile en plastique ou en bois (ne pas utiliser de métal) et nettoyer le bords des pots avec un torchon humide (ou un essai-tout ou un linge…).

  5. Mettre le couvercle sur les pots et fermer en serrant légèrement (sentir une petite résistance mais ne pas forcer) pour permettre à l'air de s'échapper lors du traitement thermique. 

  6. Placer un linge ou une grille au fond d'une grande marmite pour éviter que les bocaux se cognent (ou se brisent), déposer les bocaux dessus.

  7. Mettre de l'eau bien chaude dans la marmite et recouvrir les pots d'au moins 3 cm d'eau. Lorsque l'eau bout à gros bouillons, mettre une minuterie et chauffer 5 minutes. Baisser le feu si l'ébullition devient trop forte.

  8. Au bout des 5 minutes, retirer la marmite du feu mais attendre encore 5 min avant d'en retirer les pots pour les déposer sur un plan de travail. Laisser reposer les pots pendant 24h.

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L'été en pots - bleuets et abricots

Vous reprendrez bien un p’tit peu de chaleur?
J’avais failli partager ces recettes en hiver, super en retard ou trop en avance, je ne sais pas, mais ouvrir un pot de confiture de bleuets alors il faisait froid dehors m’en avait donné l’envie. C’est tellement bon cette sensation de retrouver un bref instant un peu de chaleur et de soleil sur une tartine. Un vrai moment de bonheur, un mini remède contre à la déprime d’hiver. Et quand ce sont des confitures maison, y a pas à dire, c’est encore meilleur. Et puis les pots on défilé, les mois aussi et me voilà enfin prête à partager tout ça alors que l’été est bientôt terminé.

Faire des confitures c’est assez simple une fois passé les premières appréhensions. Pas besoin d’une tonne d’ingrédients ni d’un savoir faire de grand chef. De bons fruits, du sucre, du jus de citron, quelques pots, un peu de temps, c’est tout. Pour les fruits je précise, oui, on peut utiliser des fruits moches et un peu abimés, mais attention, s’ils sont pourris il n’y aura pas de miracle, le résultat final le sera malheureusement probablement aussi. Alors si on ne veut pas être déçu plus tard, il vaut mieux éliminer tout de suite les fruits trop passés.
Question saveurs, bien sûr on peut expérimenter, faire des mélanges fous, ajouter des épices… mais la base et le processus sont toujours un peu les mêmes.
En ce qui me concerne, même si j’aime bien gouter de choses que je ne connais pas, laisser mes papilles voyager, j’avoue que j’ai quand même un faible pour les choses assez simples presque classiques. J’aime bien sentir le vrai goût des choses, essayer de garder la saveur des fruits le plus proche possible de ce qu’elle est lorsqu’ils sont frais. Bref pas trop de flafla pour moi.

Pendant plusieurs années, je n’ai quasiment fait que de la confiture de figues , toujours avec la même recette en ajoutant ou pas un peu de rhum à la fin selon mes humeurs. C’est toujours ma préférée, elle me rappelle tellement la Corse. Et puis l’envie de prolonger le plaisir d’autres fruits et les demandes spéciales de chacun, ont allongés la liste des confitures annuelles et la quantité de pots dans mes placards. Bleuets pour l’enfant n˚1, abricots pour la moustache et l’enfant n˚2, ce sont les dernières confitures à avoir été réalisées cet été.

Confiture de bleuets

Pour environ 4 pots de 250 ml

• 1,2 kg de bleuets (les bleuets du Lac Saint Jean c’est encore mieux)
• 600 g de sucre
• 4 c. à soupe de jus de citron

La veille, mettre tout les ingrédients dans une grande casserole et porter à ébullition.
Couvrir à l’aide d’un film plastique ou d’un couvercle et laisser reposer jusqu’au lendemain.
Le jour de cuisson, préparer le pots stérilisés et mettre 2 petites assiettes au congélateur (pour vérifier la cuisson à la fin).
Remettre la casserole sur le feu et faire cuire en remuant souvent jusqu’au point de gélification. Pour vérifier la cuisson sortir une des petites assiettes du congélateur et y déposer un peu de confiture. Si elle fige c'est qu'elle est prête sinon il faut laisser cuire encore un peu (l'autre assiette sert pour vérifier une seconde fois si besoin) mais attention de ne pas faire trop cuire.
Remplir les pots jusqu'à 6mm du bord, fermer et conserver...

Confiture d’abricots et miel

Pour 5-6 pots de 250 ml

• 1.5 kg d’abricots
• 350 g de sucre
• 375 g de mel
• 5 c. à soupe de jus de citron
• 1 gousse de vanille

Laver, dénoyauter et couper les abricots.
Mettre les fruits, le sucre, le miel, le citron et les graines de la gousse de vanille dans une grande casserole et laisser macérer 1h (ou toute la nuit si on veut).
Préparer les pots stérilisés.
Porter la préparation à ébullition en remuant souvent et cuire jusqu’au point de gélification (test de l’assiette voir plus haut).
Laisser reposer quelques minutes hors du feu et mettre en pots.

On peut simplement retourner les pots remplis et bien fermés et attendre qu’ils soient complètement refroidis avant de les ranger pour les conserver, mais si vous voulez leur faire subir un petit traitement thermique pour les garder sans crainte hors du frigo, les explications sont ici.

images : n.v.quelques-choses

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Comme des Figolus

Décidément, le temps a une étonnante capacité à filer trop vite. Des semaines, pour ne pas dire des mois, que cette recette attend tranquillement dans mon ordinateur. Pourtant, j’avais tellement hâte de la partager, j’ai attendu si longtemps avant de re-tenter une version maison des classiques biscuits fourrés à la figue, et d’en être assez satisfaite pour avoir envie de la refaire instantanément. Parce que oui, j’avais un peu laissé de coté l’idée après un essai pas super réussi. Mais il y a des choses comme ça, des idées qui restent cachées dans un coin de nos têtes prêtent à ressurgir à la moindre occasion. Alors, quand je me suis retrouvée avec un sac rempli de figues sèches (très sèches) dans ma cuisine un soir de semaine, l’envie est réapparue quasi instantanément.
Parce qu’enfin, que faire quand on vous apporte 400 g de figues sèches, trop sèches pour avoir envie des les dévorer direct avec un petit bout de fromage?

Elles auraient pu finir en tapenade ou dans un cake ces figues, mais voilà, on était en manque de biscuits depuis quelques jours chez nous, et quand je pense biscuits et figues, je vois tout de suite l’image d’un Figolu.

Ah les Figolus ! Il me semble qu’enfant j’ai lutté pour ne pas les aimer. Trop adulte, trop nature, trop “santé”, bref trop loin des trucs chocolatés et transformés qui attirent plus facilement les jeunes papilles, j’avais plutôt tendance à les éviter. Et pourtant, c’est justement ce mélange de pâte à la fois tendre et sablée et de garniture à la figue (j’adooooore les figues) que j’aime tant aujourd’hui. C’est probablement pour ça que la vue de ces petites figues ratatinées, m’a tout de suite donné envie de leur donner un petit coup de moelleux et d’essayer de retrouver le goûts de ces biscuits pas si sages et vraiment gourmands en fin de compte.
Pour être honnête, si ma version maison des Figolus, se rapproche beaucoup de la version industrielle, ce n’est pas son clone parfait. Et même si elle a fait l’unanimité chez nous, et que personnellement je la préfère maintenant à la version originale, elle n’a pas et n’aura jamais ce petit goût indéfinissable si particulier des biscuits industriels qui franchement me manque de moins en moins.

“Figolus” maison

• 180 g de farine
• 40 g de poudre d’amandes
• 125 g de beurre mou
• 1 oeuf
• 1 pincée de sel
• 1 c à café d’extrait de vanille maison

garniture

• 200 g de figues sèches moelleuses de préférences
• 2 c. à soupe d’eau
• 1 c. à soupe de jus de citron
• cannelle en poudre au goût

Si les figues sont trop sèches ou dures, les mettre dans un grand bol avec de l’eau et les tremper toute une nuit pour les réhydrater.
Couper les figues en dés, ajouter l’eau, le jus de citron et la cannelle, mixer au robot et réserver.
Préparer la pâte en mélangeant le beurre mou coupé en morceaux et le sucre pour obtenir un pommade. Ajouter le reste des ingrédients (oeuf, farine, sel, poudre d’amandes, vanille) et pétrir pour obtenir une pâte homogène. Former une boule et laisser reposer au réfrigérateur 30 min.
Préchauffer le four à 180˚C.
Étaler la pâte sur environ 3 mm d’épaisseur et découper des rectangles de pâte. Déposer de la garniture au centre de chaque rectangle dans la longueur. Rabattre la pâte sur la garniture pour l’enfermer et déposer les rouleaux, soudure en dessous, sur une plaque recouverte de papier cuisson.
Cuire environ 15 min.
Laisser refroidir avant de gouter.

images : n.v. quelques-choses

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Biscuits choco-noisettes

Comme souvent, tout a commencé avec une envie irrésistible de grignoter un petit truc sucré, le manque de certains ingrédients et une flemme infinie de sortir affronter le froid extérieur pour aller les chercher. Bref cette version de biscuits gourmands et rapides à faire est née comme ça, un dimanche parce que pas assez de chocolat pour réaliser la recette original, ce n’est pas une raison suffisante pour se laisser abattre et faire l’impasse sur la gourmandise, mais plutôt une excuse pour essayer quelque chose d’un peu différent.
J’avoue que ça faisait aussi un moment que j’avais envie de faire une version revue de la recette des cookies super choco, car, même si elle reste toujours une des mes recette de biscuits au chocolat préférées, 300 g de chocolat chaque fois qu’on veut la faire, ça fait quand même un sacré budget. Et puis j’aime bien l’idée d’avoir une recette de base assez solide pour la personnaliser selon mes envies.

C’est vrai qu’il y a quelques années, je n’aurais pas osé modifier ne serait ce qu’un tout petit peu une recette, de peur de la rater, de tout gâcher. Et puis à force de faire, d’essayer et de rater certaines recettes même en les suivant à la lettre, j’ai un peu pris confiance. Je sais maintenant un peu plus ce que je suis capable de changer sans avoir à tout jeter à la poubelle. Je n’ai plus peur de réduire les quantités de sucre (je trouve presque toujours les recettes de gâteaux trop sucrées) ou de chocolat, de mélanger des farines quand je n’ai pas assez de celle recommandée. De supprimer ou de réduire la quantité de certains ingrédients super chers ou que je n’ai simplement pas. J’y vais par petites touches et j’essai en évitant autant que possible les passages directs à la poubelle, parce qu’il n’y a rien de plus triste que de gaspiller du temps mais surtout des ingrédients.
Bien sûr il y a encore des essais pas supers, des “Mouai, finalement il aurait mieux valu rien changer”, mais il y a aussi des belles surprises, des nouvelles variations préférées comme ces petits biscuits.

Cette fois, on va dire que même avec moins de chocolat que la recette initiale, cette version reste quand même super gourmande. Et puis il y a les noisettes, comment résister au duo choco-noisettes. Je les ai hachées assez petit pour un effet “crunchy” subtil, mais là aussi on peut varier et les hacher plus grossièrement pour ajouter encore de texture.

Je me suis aussi amusée à faire une autre variation (désolée pas de photos) en remplaçant les noisettes par des olives noires, un peu plus osée, mais vraiment gourmand. Il faut dire que j’adore le mariage chocolat-olives noires, je trouve que comme chocolat-noisettes ces 2 ingrédients qui se marient super bien. Ça rappelle un peu les sablés chocolat-olives noires mais en version beaucoup plus moelleuse et sans temps de repos pour la pâte. À tester aussi si vous hésitez…

Biscuits choco-noisettes

• 180 g de chocolat à dessert (64% de cacao ou plus selon le goût)
• 40 g de beurre
• 2 oeufs entiers
• 1 c à soupe d’extrait de vanille maison (facultatif)
• 30 g de farine
• 1/2 c. à café de levure chimique (poudre à pâte)
• 45 g de noisettes (ou 45 g d’olives noires hachées pour une version choco-olives)

Hacher les noisettes plus ou moins grossièrement selon le goût et réserver.
Faire fondre le chocolat et le beurre au bain-marie.
Dans un grand saladier, fouetter les oeufs et le sucre jusqu'à obtenir un mélange pâle et crémeux. Ajouter la vanille et mélanger puis ajouter la farine, la levure, et le mélange chocolat et beurre fondus. Bien mélanger.
Ajouter les noisettes hachées et mélanger de nouveau.
Préchauffer le four à 180°C.
Former des petits tas de pâtes sur une plaque recouverte de papier à cuisson ou d’un Silpat et cuire 12 min. environ.
Laisser refroidir avant de déguster.

images : n.v. quelques-choses