Comme des Figolus

Décidément, le temps a une étonnante capacité à filer trop vite. Des semaines, pour ne pas dire des mois, que cette recette attend tranquillement dans mon ordinateur. Pourtant, j’avais tellement hâte de la partager, j’ai attendu si longtemps avant de re-tenter une version maison des classiques biscuits fourrés à la figue, et d’en être assez satisfaite pour avoir envie de la refaire instantanément. Parce que oui, j’avais un peu laissé de coté l’idée après un essai pas super réussi. Mais il y a des choses comme ça, des idées qui restent cachées dans un coin de nos têtes prêtent à ressurgir à la moindre occasion. Alors, quand je me suis retrouvée avec un sac rempli de figues sèches (très sèches) dans ma cuisine un soir de semaine, l’envie est réapparue quasi instantanément.
Parce qu’enfin, que faire quand on vous apporte 400 g de figues sèches, trop sèches pour avoir envie des les dévorer direct avec un petit bout de fromage?

Elles auraient pu finir en tapenade ou dans un cake ces figues, mais voilà, on était en manque de biscuits depuis quelques jours chez nous, et quand je pense biscuits et figues, je vois tout de suite l’image d’un Figolu.

Ah les Figolus ! Il me semble qu’enfant j’ai lutté pour ne pas les aimer. Trop adulte, trop nature, trop “santé”, bref trop loin des trucs chocolatés et transformés qui attirent plus facilement les jeunes papilles, j’avais plutôt tendance à les éviter. Et pourtant, c’est justement ce mélange de pâte à la fois tendre et sablée et de garniture à la figue (j’adooooore les figues) que j’aime tant aujourd’hui. C’est probablement pour ça que la vue de ces petites figues ratatinées, m’a tout de suite donné envie de leur donner un petit coup de moelleux et d’essayer de retrouver le goûts de ces biscuits pas si sages et vraiment gourmands en fin de compte.
Pour être honnête, si ma version maison des Figolus, se rapproche beaucoup de la version industrielle, ce n’est pas son clone parfait. Et même si elle a fait l’unanimité chez nous, et que personnellement je la préfère maintenant à la version originale, elle n’a pas et n’aura jamais ce petit goût indéfinissable si particulier des biscuits industriels qui franchement me manque de moins en moins.

“Figolus” maison

• 180 g de farine
• 40 g de poudre d’amandes
• 125 g de beurre mou
• 1 oeuf
• 1 pincée de sel
• 1 c à café d’extrait de vanille maison

garniture

• 200 g de figues sèches moelleuses de préférences
• 2 c. à soupe d’eau
• 1 c. à soupe de jus de citron
• cannelle en poudre au goût

Si les figues sont trop sèches ou dures, les mettre dans un grand bol avec de l’eau et les tremper toute une nuit pour les réhydrater.
Couper les figues en dés, ajouter l’eau, le jus de citron et la cannelle, mixer au robot et réserver.
Préparer la pâte en mélangeant le beurre mou coupé en morceaux et le sucre pour obtenir un pommade. Ajouter le reste des ingrédients (oeuf, farine, sel, poudre d’amandes, vanille) et pétrir pour obtenir une pâte homogène. Former une boule et laisser reposer au réfrigérateur 30 min.
Préchauffer le four à 180˚C.
Étaler la pâte sur environ 3 mm d’épaisseur et découper des rectangles de pâte. Déposer de la garniture au centre de chaque rectangle dans la longueur. Rabattre la pâte sur la garniture pour l’enfermer et déposer les rouleaux, soudure en dessous, sur une plaque recouverte de papier cuisson.
Cuire environ 15 min.
Laisser refroidir avant de gouter.

images : n.v. quelques-choses

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Biscuits choco-noisettes

Comme souvent, tout a commencé avec une envie irrésistible de grignoter un petit truc sucré, le manque de certains ingrédients et une flemme infinie de sortir affronter le froid extérieur pour aller les chercher. Bref cette version de biscuits gourmands et rapides à faire est née comme ça, un dimanche parce que pas assez de chocolat pour réaliser la recette original, ce n’est pas une raison suffisante pour se laisser abattre et faire l’impasse sur la gourmandise, mais plutôt une excuse pour essayer quelque chose d’un peu différent.
J’avoue que ça faisait aussi un moment que j’avais envie de faire une version revue de la recette des cookies super choco, car, même si elle reste toujours une des mes recette de biscuits au chocolat préférées, 300 g de chocolat chaque fois qu’on veut la faire, ça fait quand même un sacré budget. Et puis j’aime bien l’idée d’avoir une recette de base assez solide pour la personnaliser selon mes envies.

C’est vrai qu’il y a quelques années, je n’aurais pas osé modifier ne serait ce qu’un tout petit peu une recette, de peur de la rater, de tout gâcher. Et puis à force de faire, d’essayer et de rater certaines recettes même en les suivant à la lettre, j’ai un peu pris confiance. Je sais maintenant un peu plus ce que je suis capable de changer sans avoir à tout jeter à la poubelle. Je n’ai plus peur de réduire les quantités de sucre (je trouve presque toujours les recettes de gâteaux trop sucrées) ou de chocolat, de mélanger des farines quand je n’ai pas assez de celle recommandée. De supprimer ou de réduire la quantité de certains ingrédients super chers ou que je n’ai simplement pas. J’y vais par petites touches et j’essai en évitant autant que possible les passages directs à la poubelle, parce qu’il n’y a rien de plus triste que de gaspiller du temps mais surtout des ingrédients.
Bien sûr il y a encore des essais pas supers, des “Mouai, finalement il aurait mieux valu rien changer”, mais il y a aussi des belles surprises, des nouvelles variations préférées comme ces petits biscuits.

Cette fois, on va dire que même avec moins de chocolat que la recette initiale, cette version reste quand même super gourmande. Et puis il y a les noisettes, comment résister au duo choco-noisettes. Je les ai hachées assez petit pour un effet “crunchy” subtil, mais là aussi on peut varier et les hacher plus grossièrement pour ajouter encore de texture.

Je me suis aussi amusée à faire une autre variation (désolée pas de photos) en remplaçant les noisettes par des olives noires, un peu plus osée, mais vraiment gourmand. Il faut dire que j’adore le mariage chocolat-olives noires, je trouve que comme chocolat-noisettes ces 2 ingrédients qui se marient super bien. Ça rappelle un peu les sablés chocolat-olives noires mais en version beaucoup plus moelleuse et sans temps de repos pour la pâte. À tester aussi si vous hésitez…

Biscuits choco-noisettes

• 180 g de chocolat à dessert (64% de cacao ou plus selon le goût)
• 40 g de beurre
• 2 oeufs entiers
• 1 c à soupe d’extrait de vanille maison (facultatif)
• 30 g de farine
• 1/2 c. à café de levure chimique (poudre à pâte)
• 45 g de noisettes (ou 45 g d’olives noires hachées pour une version choco-olives)

Hacher les noisettes plus ou moins grossièrement selon le goût et réserver.
Faire fondre le chocolat et le beurre au bain-marie.
Dans un grand saladier, fouetter les oeufs et le sucre jusqu'à obtenir un mélange pâle et crémeux. Ajouter la vanille et mélanger puis ajouter la farine, la levure, et le mélange chocolat et beurre fondus. Bien mélanger.
Ajouter les noisettes hachées et mélanger de nouveau.
Préchauffer le four à 180°C.
Former des petits tas de pâtes sur une plaque recouverte de papier à cuisson ou d’un Silpat et cuire 12 min. environ.
Laisser refroidir avant de déguster.

images : n.v. quelques-choses

Gingerbreads et Golden Syrup

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Non non, ce qu’est pas une erreur, et non, je n’ai pas succombé à cette tendance qui veut que l’on utilise systématiquement le nom anglais des choses quand le pendant en français existe. Parce que oui, je suis d’accord, c’est jolie de dire cranberry, ça fait exotique, mais canneberge, c’est pas mal non plus, et ça permet de connaitre un mot de plus. Bref ce n’est pas un effet de style si j’appelle ces petits biscuits des Gingerbreads plutôt que des pains d’épices, c’est simplement que pour moi, le pain d’épices ce n’est pas tout à fait la même chose.

Pendant longtemps, le pain d’épices a été synonyme quelque chose de doux, moelleux et riche en miel. Quelque chose comme ce pain d’épices alsacien rectangulaire, souvent industriel j’avoue, qui hante certains de mes souvenirs de goûtés d’enfant. Les petits bonhommes et les maisons de pain d’épices décorés de sucre ont fait leur apparition dans ma vie assez tard. Ils m’ont longtemps semblé faire parti d’un autre monde, celui des frères Grimm et des contes pour enfants mais aussi des biscuits de Noël plus liés à la culture anglo-saxonne qu’à la mienne française et franchement méditerranéenne.
Voilà pourquoi j’appelle encore, plus facilement ces biscuits plein de saveurs des Gingerbreads.

Pour la petite histoire, l’existence des pains d’épices ou Gingerbreads peu importe finalement comment on les appelle, est bien plus ancienne que les traditions des fêtes de Noël ou les frères Grimm. On retrouve déjà leur trace en Egypte et en Grèce ancienne et c’est autour du 11 ème siècle, avec le retour des croisades, que ces petits biscuits plein de saveurs ont fait leur apparition en Europe. Au fil du temps on passera de l’utilisation de moule en bois aux emportes pièces en métal avec une multitude de variations plus ou moins moelleuses et épicées selon les pays et les région.

Comme chaque année depuis que je suis tombée sur cette recette dans un magazine Donna Hay spécial fêtes, ces petits bonhommes refont surface dans ma cuisine juste avant Noël. Pas d’exception cette année, si ce n’est que l’on a refait cette recette presque toutes les semaines depuis. Faut dire que le mini format et le télétravail y sont pour quelque chose. Ils sont si petits et si facile à attraper et se marient parfaitement bien avec un thé (qui ces derniers temps ce compte en litres plutôt qu’en tasse).

Pour en revenir à cette recette, pas de mélange compliqué d’épices, juste du gingembre, mais un super équilibre entre douceur et piquant et un ingrédient que je n’aurai jamais pensé à utiliser avant, le Golden Syrup. Un sirop tout doux, super parfumé en provenance direct d’Angleterre. Si vous avez 5 minutes, allez si leur site voir la petite histoire de leur icône de lion mort (oui mort), ça vaut la peine.
Donc des petits biscuits croquants, légèrement piquants, juste parfaits. Question piquant, la recette initiale indiquait 2 cuillères à café de gingembre moulu mais personnellement je préfère en mettre 3, vous de voir.
On peut aussi ajouter du cacao pour une version chocolatée, (je n’ai pas pu la prendre en photo, ils avait déjà tous disparus) ou de tous petits morceaux de gingembre confits, fiai testé cette année et j’aime beaucoup.

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Les Gingerbreads au Golden Syrup

• 125 g de beurre doux coupé en morceaux
• 90 g de sucre brun (cassonade)
• 230 g de Golden Syrup
• 375 g de farine
• 1 c. à café de bicarbonate
• 2-3 c. à café de gingembre moulu

• pour une version chocolatée, ajouter 35 g de cacao en poudre à la farine

Mettre le beurre ramolli et le sucre dans le bol d’un robot et battre pendant environ 10 minutes, jusqu’à ce que le mélange devienne crémeux et pâle.
Racler les bords du bol, ajouter le Golden Syrup, la farine, le bicarbonate et le gingembre (et le cacao pour la version chocolat) puis mélanger le tout.
Former un disque avec la pâte l’envelopper d’un film plastique et mettre au frais pendant 30 minutes.
Préchauffer le four à 140ºC.
Sur un plan fariné, taler la pâte sur un épaisseur d’environ 4 millimètres et découper les biscuits à l’aide d’un emporte pièces. Déposer les biscuits bien espacés sur une plaque recouverte de papier cuisson (ou Silpat) et cuire 18 à 20 min.

Les biscuits vont beaucoup gonfler lors de la cuisson, ils redescendront en refroidissant. Il est donc bien important de les espacer sinon ils se colleront.

Le Golden Syrup pourrait être remplacé par du sirop de maïs, mais je nais jamais essayer. J’imagine que le goût sera légèrement différent.

images : n.v. quelques-choses

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Des biscuits Granola maison

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Si vous n’avez jamais mangé de Granola, je parle de ces biscuits recouverts de chocolat au goût bien particulier, vous ne pourrez peut être pas comprendre mon niveau d’excitation face à cette recette. Mais pour celles et ceux qui connaissent ces petites merveilles chocolatées, je suis sûre que vous partagerez mon petit plaisir.

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Les Granola font partie de ces biscuits industriels un peu spéciaux, comme les Chamonix, les Pailles d’Or… qui ont marqué certains moment de mon enfance et dont le goût évoque toujours quelque chose de particulier. Je ne peux d’ailleurs pas m’empêcher d’en acheter un paquet (que je dévore égoïstement à une vitesse vertigineuse, j’avoue) chaque fois que je retourne en France. Pourtant quand on y regarde de plus près, il s’agit juste d’un biscuit avec de l’avoine, un peu comme un “digestive cookie” recouvert de chocolat. Rien de spécial comme souvent et pourtant. Donc voilà il y a quelque temps, j’ai eu une grosse envie de Granola, et même si on en trouve à Montréal depuis quelques années et que leur prix est devenu un peu plus raisonnable, j’ai eu envie d’en faire des maison. C’est toujours mieux de savoir ce que l’on met dans son corps et toujours sympa de percer un peu le secret de ses souvenirs gustatifs. Bref, ma quête du Granola maison s’est avérée plus simple que prévue et j’adooooore le résultat. Et si on met de côté la forme un peu plus rustique que les originaux, le goût de cette version est juste parfait. J’ai d’ailleurs fait tester par d’autres papilles que les miennes et ça a été un succès.

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Biscuits Granola maison

pour environ 20 biscuits

• 125 g de flocons d’avoine à cuisson rapide
• 125 g de farine
• 1 c. à café de bicarbonate de soude
• 60 g de cassonade ou sucre roux
• 1 oeuf
• 125 g de beurre demi-sel

Pour le glaçage

• 150 g de chocolat noir
• 50 g de chocolat au lait

Mixer les flocons d’avoine pour une texture plus fine. Mélanger les flocons d’avoine, la farine et le bicarbonate. Ajouter le sucre, l’oeuf et le beurre coupé en morceaux. Sabler la pâte du bout des doigts puis façonner un boule.
Envelopper la pâte dans du film plastique et l’aplatir pour former une galette. Réserver au réfrigérateur pendent 20 min.
Préchauffer le four à 180 °C.
Étaler la pâte entre 2 couches de film plastique (elle colle beaucoup). Ne pas mettre de farine sur le plan de travail. Découper des disques de pâte et les déposer sur une plaque recouverte de papier cuisson.
Cuire 10 min.
Laisser refroidir complètement.
Mélanger les 2 chocolats et les faire fondre au bain-marie. Tremper une face de chaque biscuit dans le chocolat fondu, enlever le surplus et poser sur une grille. Laisser durcir le chocolat.

On peut faire des stries sur le chocolat à l’aide d’une fourchette avant qu’il ne commence à durcir si on veut.
Les flocons d’avoine classiques peuvent remplacer les flocons à cuisson rapide mais il faudra alors les passer rapidement au mixeur.
Si on veut une texture plus rustique, on peut aussi utiliser les flocons à cuisson rapide tels quels.

images : n.v.quelques-choses

Cookies Choco-Chai

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On pourrait dire que cette recette c’est un peu un accident, mais un de ces accidents que l’on ne regrette pas. Elle a vue le jour un soir tard, je fais souvent de la pâtisserie tard ça me détend et puis sinon je n’aurais jamais le temps d’en faire, j’avais choisi de faire une recette rapide de coockies, un truc facile pas trop gras mais j’avais envie de quelque chose d’un peu différent, pas seulement des pépites de chocolat. C’est à ce moment là que j’ai aperçu ce petit sachet de chocolat en poudre pour chocolat chaud en haut d’un placard. Un produit que je n’achète pas pour moi d’habitude mais que j’avais rapporté d’un marché de Noël l’an dernier.
J’avais d’abord trouvé l’image de Sük Choco simple, raffinée et honnête et les créateurs/exposants passionnés et tellement gentils et puis quoi, il s’agissait de chocolat quand même, alors même si je suis plutôt tablettes, je n’avais pas pu résister. Je ne bois plus vraiment de chocolat chaud (j’avoue en écrivant ça je me suis levée pour m’en préparer un comme quoi il n’y a que les imbéciles…), mais ce que j’avais goûté était tellement bon, rien à voir avec les mélanges commerciaux, un vrai goût de cacao et des épices juste comme il faut. Bref un truc un peu précieux qu’on allait sûrement déguster un dimanche après midi d’hiver emmitouflé dans un gros pull devant un feu de cheminée.
Et puis l’hiver est passé, le sachet à disparu dans le fond d’un placard, on l’a un peu oublié. Il risquait de passer tranquillement dans la catégorie des aliments qu’il faut faire sortir du placard avant qu’ils ne soient plus bons et pour lesquels on cherche une solution anti-gaspillage. Mais voilà, il aura fallu une petite envie de changement pour le sauver.

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Pour en revenir à ces cookies, quand je suis tombée sur le sachet de Sük Chai, je me suis dis que ça ne coutait rien n’en ajouter quelques cuillères à ma recette, on verrait bien ce que ça donnerait. Au pire on oublierait vite, je me dévouerai pour manger les cookies ratés et je pourrais facilement refaire un version plus classique de la recette. Au final, pas besoin de jouer les martyres, il a presque fallu se battre pour en manger plus qu’un. L’enfant n°2 a plus que validé, elle a même partagé avec ses amies, signe que l’essai était réussi.

Des cookies gourmands avec une petite touche exotique, un petit côté épicé presque frais qui surprend et réveille les papilles. Une nouvelle version de mes presque cookies, un minimum d’effort pour un super résultat.
Et si vous n’avez pas de chocolat en poudre Sük Chai sous la main, il pourrait certainement être remplacé par un mélange de cacao en poudre, cannelle et cardamome en poudre. Il faudrait juste tester en quelles proportions.

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Presque des cookies Choco-Chai

• 150 g de sucre
• 2 oeufs
• 350 de farine
• 1 pincée de sel
• 1 c. à café de levure chimique (poudre à pâte)
• 3 c. à café de chocolat Sük chocolat chaud au Chai
• 200 g de beurre
• 150 g de chocolat noir coupé (ou de pépites)

Préchauffer le four 180°C.
Battre les oeufs et le sucre.
Incorporer la farine, le sel, la levure, le chocolat en poudre et le beurre.
Ajouter les morceaux de chocolat.
Déposer des petits tas de pâtes bien espacés sur un plaque de cuisson.
Cuire 10 min. environ. Laisser refroidir.

images : n.v. quelques-choses

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